Dans l’univers dynamique des navigateurs Android, on avance vite et parfois, on doit dire au revoir à ce qui nous était cher. Kiwi Browser, ce petit bijou basé sur Chromium, a su capter le cœur des utilisateurs avec son support unique pour les extensions Chrome, permettant une navigation fluide et sans publicité intrusive. Créé par un développeur passionné désireux d’apporter le meilleur du web mobile, Kiwi Browser tire désormais sa révérence, laissant ses utilisateurs nostalgiques mais reconnaissants pour l’expérience enrichissante qu’il a su offrir. Alors que la lumière s’éteint sur cette étoile du numérique, un héritage persiste, puisque son code précieux va vivre au sein de Microsoft Edge Canary.
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La nouvelle est tombée, Kiwi Browser, le célèbre navigateur web pour Android, est en train de fermer ses portes. Connu pour son support exceptionnel des extensions Chrome qui a ravi bien des utilisateurs, il a malheureusement été retiré du Google Play Store et ne bénéficiera plus d’aucune maintenance après ce mois-ci. Toutefois, une lueur d’espoir subsiste : le code supportant les extensions a été intégré dans Microsoft Edge Canary pour Android. Bien que son installation soit moins intuitive que sur Kiwi, cela permettra aux nostalgiques de maintenir une certaine continuité.
Cette décision vient rappeler la complexité et le dévouement nécessaires dans le développement de navigateurs. Le développeur, créateur d’un outil chéri par les adeptes de la personnalisation, laisse une partie de l’héritage de Kiwi se perpétuer à travers d’autres navigateurs tels que Edge, Firefox ou Samsung Internet.
adieu kiwi browser : une page se tourne pour un navigateur emblématique
Le monde des technologies est en perpétuelle évolution, et l’année 2025 marque la fin d’une ère pour le Kiwi Browser. Connu pour avoir révolutionné la navigation sur Android, il permettait entre autres des améliorations telle que le support des extensions Chrome, une fonctionnalité encore absente de nombreux navigateurs mobiles, même en 2025. Sa disparition inattendue du Google Play Store attriste bon nombre d’utilisateurs, mais laisse également place à de nouvelles perspectives pour d’autres navigateurs émergents.
Avec ses capacités impressionnantes de personnalisation, Kiwi Browser avait su se distinguer en proposant aux utilisateurs de se débarrasser des publicités intrusives et de profiter d’une navigation optimisée. Son cœur, basé sur le moteur Chromium, en faisait un outil rapide et léger, qui à seulement quelques exceptions près, surpassait largement la concurrence. Pourtant, malgré son génie technique et son engouement, le développeur a décidé d’archiver le projet, marquant ainsi la fin d’un chapitre mémorable pour tous les fans de ce navigateur avant-gardiste.
la renaissance du kiwi dans microsoft edge
La disparition du Kiwi Browser ne laisse pas un vide complet. En effet, son héritage continue à vivre, notamment à travers Microsoft Edge Canary. Le développeur a révélé que le code pour le support des extensions avait été intégré dans Edge, permettant ainsi de poursuivre l’expérience enrichissante offerte par Kiwi. Cependant, cela n’est pas sans quelques subtilités. Pour bénéficier des extensions, il est nécessaire d’activer certaines options développeur dans Edge. Bien que ce ne soit pas aussi intuitif qu’avec Kiwi, cela reste un point positif pour les passionnés de modularité qui continuent à rechercher la possibilité d’ajouter des fonctionnalités à leur navigateur.
un avenir incertain pour les extensions sur android
Alors que les utilisateurs se remettent de la fin de Kiwi Browser, une question persiste : l’avenir des extensions sur Android. Chrome, malgré sa domination incontestée, traîne encore la patte concernant certaines de ces fonctionnalités convoitées. D’autres navigateurs, comme Firefox et même Samsung Internet, ont déjà capté une part du marché en proposant des fonctionnalités similaires que les utilisateurs ne souhaitent clairement plus voir disparaître. Il est donc légitime de se demander si cette tendance prendra plus d’ampleur, et surtout, si Chrome Android se ralliera, enfin, à cette vague de modernisation pour combler ses lacunes historiques.
